Si le cabillaud était autrefois pêché en Atlantique nord, c’est à Nîmes que les pêcheurs venaient s’approvisionner en sel pour sa conservation. Les Nîmois s’inspirèrent donc de cet ingrédient de base, le cabillaud séché et salé, alors appelé morue, pour créer la recette de la brandade de morue. La première trace écrite de cette recette apparaît dans l’ouvrage Le cuisinier Durand, sur la cuisine provençale, en 1830.